« Le bonheur est la seule chose que l’on double, si on le partage… »
Albert Schweitzer.
Hey les filles,
Non ne vous méprenez pas!! Je n’ai pas mis mes WonderMoms de côté! Bien au contraire… Celle que je vais vous présenter aujourd’hui est très spéciale… Il y a quelques semaines, je vous ai posé une question sur Facebook:
« Que pensez-vous du mariage coutumier?! À perpétuer ou pas?! Les bienfaits et/ ou les limites actuelles que peuvent représenter ce genre d’union?! Etc… »
Je ne vous cache pas que les réponses et témoignages ont fusé pour mon plus grand bonheur…. Cette question était le moyen d’embrayer sur ma nouvelle wondermom… Cette Wondermom qui me connaît bien, même très bien!! Femme de marin, expatriée sur l’Ile de la Réunion, elle sait gérer sa petite tribu comme il se doit! Aujourd’hui, elle prend le temps de nous conter son mariage traditionnel…
WonderMom N°18 et son amoureux, c’est un couple mixte franco-congolais avec de beaux enfants, mariés depuis maintenant 6 ans vivant leur vie d’expats de façon très impressionnante… Parce que oui, pour moi déménager tous les 4 ans, relève de l’impossible…
WMN°18, c’est la famille! La vraie! On a grandi ensemble; avions des rêves similaires que seules nous, ne pouvions comprendre…Rencontrions très souvent les mêmes problématiques….
Pourquoi j’ai choisi de vous raconter l’histoire de ma cousine? Tout simplement, parce que son parcours est respectable et je sais qu’il parlera à beaucoup de femmes qui se retrouvent(-eront) dans la même situation! Prendre son destin en main, prendre des décisions qui ont changé à jamais le cours de sa vie: elle a su faire! Non pas qu’elle n’a eu peur de rien! Loin de là! C’est juste que quand faut y aller, ben faut y aller!
A travers ce WonderMom spécial, nous allons donc parler « mariage traditionnel » appelée « la dot » de façon plus populaire. La « DOT » est en quelque sorte, le prix à payer par le futur mari à la famille de la jeune fille. Cette méthode est parfois critiquée par les détracteurs de la dot qui estiment que l’homme achète sa femme.
Mais qu’est-ce réellement que la dot?
En Afrique subsaharienne, la dot est considérée comme étant le prix de la fiancée symbolise en quelque sorte les fiançailles du couple. Ces fiançailles permettent aux deux futurs époux d’officialiser leur union future auprès de leurs familles respectives. L’homme vient se présenter à la famille de sa future épouse OFFICIELLEMENT!! Sans passer par la fenêtre, comme on dirait chez moi… Dans de nombreuses cultures africaines, il prouve la capacité du jeune homme à prendre en charge une famille, puisqu’il lui est demandé de fournir lui-même les cadeaux qu’il apporte. C’est également un élément d’alliance entre les familles, puisqu’elle se fait en présence des membres des familles élargies de part et d’autre.
Dans beaucoup de cultures en Afrique de l’Ouest, ce sont généralement les oncles et les tantes des fiancés qui président la cérémonie, et non leurs propres parents. Cela suppose, et donc exige, une certaine harmonie familiale, la famille devant être vécue au sens large et non une cellule nucléaire. Suivant les ethnies, ce système a un sens symbolique très fort. Le prix de la fiancée est aussi un geste de gratitude de la part de la famille du marié envers la famille de la mariée pour avoir élevé et pris soin de cette dernière.
On reproche très souvent à ce système de fragiliser le futur ménage en lui soustrayant du patrimoine plutôt que de l’aider à se construire en lui en apportant. En Afrique noire, il est clairement précisé durant la cérémonie que ce qui est apporté ne représente pas un achat de la femme mais scelle l’alliance entre les deux familles. Les structures de la société subsaharienne ne reposent pas sur l’individualisme mais impliquent largement les familles. Ainsi, dans une vision de famille élargie, on estime qu’un couple ne se construit pas par lui seul, mais avec l’aide des proches, et en premier lieu des familles respectives. Ce système aide ainsi à inscrire les couples dans la durée dans une logique communautaire. Tradition abandonnée en Europe depuis longtemps, on ressent toutefois encore aujourd’hui, certains héritages de la dot européenne de façon diluée. Dans les pays anglo-saxons et germaniques, ainsi qu’en Alsace et en Lorraine, il incombe traditionnellement à la famille de la mariée de payer la cérémonie et le repas de mariage. La liste de mariage est aussi une tradition qui peut être considérée comme découlant de la dot et ouvert en dehors du cercle familial.
Je me suis posée de nombreuses questions, par rapport à ce type de mariage que je ne comprenais pas.. Je dois bien l’avouer, pour être honnête avec vous… Je savais que je le ferais, mais je ne comprenais vraiment pas l’engouement que nombreuses de mes soeurs, cousines, amies ou connaissances avaient pour celui-ci! Pour certaines mêmes, ce mariage traditionnel était encore plus important que leur union devant Dieu… Beaucoup de couples se marient aussi traditionnellement, et tout s’arrête! Plus rien!! Cela me dérangeait beaucoup d’ailleurs et me dérange encore! J’ai entendu comme nombreuses d’entre vous, je suppose, des histoires rocambolesques, dans lesquelles certains parents demandaient des sommes exorbitantes à leur futur gendre, accompagnées de wax et de supers wax hollandais de grandes valeurs, des marques de boissons très chères et j’en passe…
Ce type de parents justifient leurs demandes par le fait qu’ils doivent récupérer tout ce qu’ils ont investi dans leur fille depuis l’enfance jusqu’à âge adulte… Je trouve cela honteux et très malhonnête et je pèse mes mots. Je ne sais pas s’ils comprennent que c’est justement à cause de cela, que beaucoup de jeunes hommes peinent voire même n’arrivent pas à honorer leurs engagements. Même négocier avec ses beaux-parents devient compliqué de peur d’affronter les railleries de sa belle-famille.
J’ai assisté à la dot de mon grand-frère, ensuite à celle de ma cousine! Grâce aux nombreuses explications que les n’zonzis nous ont donné, notamment à la dernière dot: j’ai enfin compris! J’ai enfin compris pourquoi je le ferais, pourquoi nous le ferons, le sens de tout ce que j’appelais vulgairement des « simagrées ». (Le n’zonzi, au Congo est le nom donné au sage qui est habité à prendre la parole au nom de toute la famille! Chaque famille à son n’zonzi! Des négociations peuvent donc être faites…).
J’ai compris que je n’avais pas tord de m’offusquer contre tout ce que je dénonçais.. Les N’zonzis les dénonçaient aussi. Tout comme moi, Doudou avait saisi ce que représentait la dot. Une fois retrouvés seuls après ce 2 juillet 2016 tout plein d’émotions… Il m’a regardé droit dans les yeux et m’a dit qu’il le ferait pour honorer mon Papa! J’ai aimé son regard et le ton solennel de ses paroles…
Aujourd’hui, il est important que je vous présente ce couple mixte qui a décidé de faire ce mariage! Ce mariage, simple mais beau et plein d’authenticité. Plein d’amour tout comme j’aime.. Oui tout n’a pas été fait dans l’ordre habituel… Mais vous savez quoi? On s’en fout! L’essentiel, est qu’ils se sont unis face à la Loi, face à Dieu et face à leurs familles traditionnellement.
Pour leur faire honneur, je m’étais parée d’une belle robe de chez BAZARA’PAGNE, que j’aime beaucoup beaucoup!!
Ouais, j’ai décidé d’interviewer ma cousine!!! De les interviewer en fait parce que son amoureux , a répondu a une question…
Bienvenue chez Belle et Flo..
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PRÉSENTE-TOI
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Alors moi c’est Belle, diminutif de mon vrai prénom (Bienbel) j’ai 36 ans et je suis d’origine congolaise de BRAZZA. Assistante de direction commerciale depuis plus de 10 ans et principalement femme de marin aujourd’hui. Je le précise, car c’est un véritable métier…
Peux-tu nous parler de t petite famille! Depuis quand et combien de fois es-tu maman?
Je suis maman depuis l’âge de 23 ans, j’ai un grand chevalier de 13 ans, un artiste de 6 ans et une petite princesse de 2 ans et demi, ils sont ma vie hihihi(love)
Quel est ton parcours professionnel?
Jeune étudiante studieuse, puis révoltée par la suite, l’ambition m’a très vite rattrapée. Je suis née à Meaux dans le 77. J’ai grandi dans un univers où toutes les origines vivaient ensemble.
J’ai été indépendante dès l’âge de 18 ANS, et j’ai eu la chance de pouvoir parfaire ma carrière professionnelle très vite.
À travers ce parcours, j’ai rencontré le père de mon premier doudou et je dois l’avouer, oui j’ai connu ce que beaucoup appellerait la vie de château! Hoooo? Bien évidemment, cela est un grand mot. Mais pour moi cela a été le commencement de la découverte de ce que l’on appelle la vie de château : Amour, destruction, passion, questions, belle histoire, douleurs, argent, crainte, facilité, construction, maladie, discussion, raison, amitié et fin de l’histoire. Après quoi, Mesdames, faite votre choix!!!
Ben, le mien s’est fait et il a été de reprendre ma liberté.NDe garder une très bonne relation avec le papa de mon premier enfant, pour devenir et être à vie des parents aimants chacun de notre côté.
La suite et bien, après un temps de pause, de sérénité, et d’épanouissement personnel en tant que femme et mère; j’ai travaillé comme une malade pour valider un diplôme dans le commerce international à l’âge de 27 ans, pour me confirmer dans mes fonctions et rattraper le temps de la révolte. Yeeees chose faite!!
Je redeviens une jeune femme sur d’elle, une maman à plein temps, mais biensûr il manque mon prince charmant, celui qui m’est destiné. Car oui! Oui au fond de moi, j’y crois encore…
Tu es marié à Flo depuis 6ans! Comment as-tu su que tu ne te trompais pas?
On y vient… 10 ANS DE VIE COMMUNE ET 6 ANS DE MARIAGE OUI….
Avant de le rencontrer, je voyageais beaucoup, et Flo, Trésor (comme je l’appelle à la maison) je l’ai rencontré lors d’un voyage: le dernier que j’ai faite seule d’ailleurs!
Je partais pour continuer à m’évader, mais dès l’aéroport, il y a eu une fusion, une osmose incontrôlable et impossible de savoir d’où cela provenait.
Et pour lui, c’était la même chose.
Ainsi, nous nous retrouvons dans le même avion, oups, ça continue! Puis dans le même hôtel, la vache il est encore là. Et pourtant lui comme moi, partions aux îles Canaries, pour oublier, oublier tout ce qui nous avait fait mal et surtout, ne reprendre aucune relation amoureuse.
La suite, nous sommes repartis en couple de cette île, impossible de nous séparer.
C’est incroyable et oui c’était le bon, aucune question, aucun doute, aucune crainte, tout était limpide et clair, autant pour lui que pour moi.
Nous nous sommes soignés l’un et l’autre comme il a toujours dit et aujourd’hui nous sommes MR ET MME Gallardo Florian et Bienbel! HAAAA JE KIFFE lol…
Nous avons 3 enfants.
OUI, nous avons eu un artiste et une princesse ensemble.
La mixité de votre couple! Force ou contrainte?
HAAA, la mixité de notre couple est une force. Nous sommes opposés, mais très complémentaires. Nous aimons les gens, le monde et nos enfants par dessus tout, qui pour nous représentent la force de demain.
L’exemple de demain… Nous aimons être la preuve que tout est possible ici bas, et que quelque soit la couleur, les origines, la cultures, nous sommes avant tout des êtres humains conçus de la même manière.
Nous pensons que le métissage est l’un des plus beau message d’amour que nous puissions apporter dans ce monde, qui malheureusement aujourd’hui manque un peu de couleur de la vie.
Parlons du sujet qui m’emmène à vous interviewer .. Le mariage traditionnel, la dot en langage familier. Vous vous êtes redit oui une deuxième fois. Traditionnellement!! Ce sujet entraîne beaucoup de curiosité (voire même de l’incompréhension pour certains), alors que pour d’autres c’est une adhésion totale au principe pour ne pas parler d’accomplissement ultime. Je sais que tu ne te reconnais dans aucun de ces groupes. Dis nous en plus?!
Et bien je dirais même que nous nous sommes dis oui trois fois. Je pense que je suis la reine pour faire les choses dans le désordre, ou du moins pas comme les autres. RIRE ÉNORME!!!
Précisément nous nous sommes dis oui trois fois. À la mairie pour porter le nom de mon cher et tendre, à l’église pour notre deuxième acte devant Dieu, très important d’avoir cette bénédiction pour nous puis une troisième fois effectivement pour honorer mes pères et mères.
Tu sais, je me suis toujours dis qu’un jour je me ferais doter. Mais te dire précisément où je me situais à l’époque??!! Nos parents nous ont élevé de façon à ce que l’on soit totalement intégrés, tu le sais ma chère cousine (rires).
Née en France avec une culture congolaise, il est parfois difficile de se situer.
Moi, j’ai choisi d’être totalement frenchie, mais de n’ai jamais oublier, d’où je viens.
Par contre, j’ai pris le temps de comprendre les choses. Il y a encore quelques années quand on
me parlait de dote, je me disais: » Holalalalala, mais pourquoi va t’il falloir un jour que l’on donne plein de choses à mon père et ses frères….HAY, allons nous y arriver? »
Bref, oui j’ai pensé ainsi.
Mais sincèrement, je me disais aussi: « Alors là , mon futur mari devra suivre la tradition et rendre mon papa très fier de moi hihihi. » Tellement partagée, mais à force de réinterroger papa et maman sur ce grand geste, j’ai compris et décidé, que je le ferais quand je serai prête! Mais surtout quand mon époux et moi même aurions compris ce que nous faisons.
Je ne me permettrais jamais de juger qui que que ce soit par rapport à cela, mais pour ma part la dot n’est pas à prendre à la légère. Et je l’ai très vite compris.
Nous devions le faire avant notre mariage, mais nous voyagions beaucoup , car mon époux est marin et cela fut repoussé. Et j’en suis heureuse. Mon papa et ma maman, mes oncles et mes tantes, ont été très patients et compréhensifs. Derrière tout ce cela, tu te rends compte que le moteur de la dot, c’est aussi l’amour.
Je vais te parler en tant que femme dotée maintenant. Une fois notre décision prise, après avoir été rassurée, j’ai pu assister à la dot de ma petite sœur. Elle était belle,
sereine, et à genoux devant son papa pour la première et dernière fois.
Mon tour venait quelques semaines plus tard.
ET BIEN SACHEZ QUE CHAQUE FILLE RESTE HUMBLE DEVANT SON PAPA QUAND IL A ACCEPTE DE LUI OUVRIR LES PORTES DU BONHEUR qu’il souhaite pour elle.
C’est une coupure de cordon, réelle assumée et propre.
En dehors de ce parcours qui est demandé à notre cher et tendre pour prouver sa bravoure et sa volonté de vous chérir pour toujours traditionnellement, il y a une véritable
histoire d’amour qui éclate au grand jour. Une fille qui demande à son père de la laisser partir avec l’homme qu’elle a choisi et un père qui accepte de laisser sa fille son bébé partir, et qui laisse la place avec dignité et tristesse parfois.
L’histoire et les valeurs de la dot, sont parfois démolies, et c’est bien dommage! Ce n’est pas ce que vous mettrez dans votre panier qui compte, mais plutôt le message que vous aurez réussi à faire passer. En tout cas, en ce qui me concerne c’est le pus important. Nous avons été respectés, et nous avons respecté. Ainsi comme je vous disais, pour moi la dot est un message d’amour, le mot qui nous défini.
Comment as-tu fait pour expliquer le principe à ton mari? As-t-il adhéré à la chose directement?
HUM!!! FLO est quelqu’un de simple, donc je lui ai expliqué, comme je l’avait compris moi au départ. Il aime voyager et son métier fait qu’il part beaucoup, donc je lui en ai parlé ouvertement. Bien évidemment j’avais peur de sa réaction, mais dès le début de notre relation , il savait, que malgré ma French attitude, j’avais des valeurs culturelles importantes et que la dot me tenait à cœur « ET QUE NOUS LE FERIONS UN JOUR AU FINAL » .
Je dirais donc que quand on aime on adhère. Il m’a très vite fait comprendre qu’il le ferait un jour pour moi. Malgré toutes les questions qu’il se posait à ce sujet..
Comment as t’il fini par accepter?!
Je vais te répondre personnellement Babeth! J’ai toujours accepté, c’était un honneur pour ma femme. Maintenant quand et comment je ne savais pas vraiment.
Dès l’instant où j’ai épousé Belle devant Dieu, et que son papa m’avait tendu sa main une première fois, j’y ai encore plus pensé. Il était devenu important pour moi aussi de tenir ma promesse et d’honorer son père et sa famille traditionnellement en tant qu’homme. Ce n’était plus qu’une question de temps on va dire. Donc oui, je l’ai toujours accepté: pour honorer ma moitié, sa culture et sa famille.
Au final, je suis heureux d’avoir eu la chance de le vivre, car j’ai trouvé cela fort en émotion…
Française d’origine congolaise, le biculturalisme fait parti intégrale de ton dan… Ce mariage coutumier, reconnu ni devant Dieu ni administrativement, n’a pas été dur à comprendre pour toi? Pour beaucoup de nos parents africains, nous AFRO-Descendants nous devons de perpétuer cette tradition (encore une fois selon leurs mots)? Qu’en penses-tu? Le perpétueras tu pour tes enfants?!
Si oui pourquoi, si non pourquoi?!
HAAAAA, et bien avec la dot simple et émouvante que j’ai eu (bien évidemment cela se prépare et c’est important de bien la préparer),nous en avons parlé avec mon Flo… Si notre fille souhaite le faire, nous lui ferons symboliquement.
Uniquement si elle en ressent le besoin et pour les garçons, et bien cela dépendra des femmes qu’ils choisiront, et oui je les accompagnerai avec la volonté de Dieu, grâce à mon
expérience. En espérant qu’on ne leur demande pas des millions de dollards sans fondement… lol pour rire un peu holalala, c’est de l’ironie…
Ton mariage coutumier m’a beaucoup émue Belle. Vous paraissiez tellement sereins, tellement amoureux. Je ne te cache pas, que tout prenait son sens à mes yeux..Si tu devais donner des conseils aux femmes qui se posent des questions par rapport à cette étape de vie, qui peut être source de conflits dans un couple (mixte ou pas); que leur dirais-tu?
Écoutez votre cœur les filles et rien d’autre. Soyez en harmonie avec votre moitié dans cette action, afin de recevoir toutes les bénédictions sereinement. Et surtout, regardez votre papa dans les yeux si c’est encore possible, et osez lui demander ce qu’il attend de sa princesse, c’est à dire ce qu’ill attend de vous?
Aujourd’hui, tu vis de nouveau à la Réunion, depuis fin Aôut 2016, quels sont tes projets?
Reprendre le développement de mon blog: belle-conseils.webnode.fr . J’ai dû le laisser de côté et je compte bien me le réapproprier. J’y partagerai un peu les défis de la femme de marin que je suis, et on continuera de parler de mon parcours, mes envies, mes idées, mes craintes et pleins de choses encore.
Merci ma Belle.
Bisous, bisous.