On a testé Les Commis : bien manger sans pression (et mon code cadeau à la fin !)
Manger bon, sans pression, sans charge mentale : notre vraie découverte avec Les Commis
Chez nous, la cuisine, c’est sacré.
Mais je vais être honnête : ce n’est pas moi qui suis aux fourneaux. C’est Will, mon mari. Le chef à la maison, c’est lui. Moi je suis sa seconde: je coupe, je dresse, je goûte (parfois un peu trop) et surtout je savoure. On cuisine ensemble, à notre façon, dans le rythme effréné de nos vies de parents entrepreneurs.
Mais même pour Will, qui aime vraiment cuisiner, il y a des soirs où c’est juste trop : trop de charge mentale, trop de fatigue, pas d’idée, pas le temps.
Et c’est là qu’on a découvert Les Commis.
Des repas qui respectent notre quotidien
Avec Les Commis, tout est pensé pour simplifier la vie sans sacrifier le goût.
Les ingrédients sont frais, français, de saison, parfaitement dosés, livrés dans une box claire et bien organisée. Les recettes sont simples à suivre, bien expliquées, et surtout… vraiment bonnes.
Pas besoin de réfléchir. Juste à cuisiner. Ensemble.
Will cuisine, je seconde et on savoure
Ce que j’aime dans cette routine, c’est qu’on retrouve le plaisir.
Pas de liste de courses, pas de débat sur “on mange quoi ce soir ?”, pas de gaspillage. Juste nous deux en cuisine, pendant que les enfants gravitent autour. Timothée vient chipper des feuilles de coriandre, Salomé râle parce qu’il reste de la salade, Ceryse nous pique une pita.
On mange bon, on mange maison, et on mange ensemble.
Et ça, c’est un vrai luxe.
Ce qu’on a cuisiné cette semaine avec Les Commis On a reçu 4 recettes dans notre box. Clairement, on s’est régalés :
🥙 Pita au poulet souvlaki & sauce yaourt citronné Une explosion de saveurs grecques, simple et ultra gourmande. 🍠 Betteraves rôties au miel & feta Douces, caramélisées, twistées par la feta : un plat qu’on refera. 🥗 Salade libanaise fraîche & croquante Une salade pleine de peps, idéale pour accompagner ou manger seule. 🍚 Riz sauté thaï au poulet et légumes croquants Sûrement notre préféré : rapide, équilibré, parfumé… le genre de plat qu’on rêve d’avoir toujours prêt à la maison.
Verdict
Les Commis, ce n’est pas juste une box de repas.
C’est un vrai soulagement pour les familles actives comme la nôtre.
C’est du bon, du sain, du simple, sans renoncer à la qualité.
C’est aussi une façon de passer un moment ensemble, en cuisine, sans tension, sans corvée.
Et pour nous, c’est devenu un rendez-vous qu’on attend avec envie.
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Je regarde Timothée courir sur cette plage thaïlandaise, pieds nus dans le sable, éclats de rire dans le vent. Je le regarde, et je souris. Mais en vrai… je suis épuisée.
Cette fois, c’est moi qui ai changé.
Quand on a annoncé à nos proches qu’on attendait un bébé, et pas juste qu’on « envisageait » d’en avoir un, les réactions n’ont pas tardé :
« Quoi ? Un bébé ? À votre âge ? »
Être maman après 40 ans, c’est une aventure unique. Ça n’a rien à voir avec mes premières expériences de maternité. J’ai déjà traversé les nuits blanches, les dents qui poussent, les crises de colères avec mes deux grandes. Mais cette fois, c’est différent.
« Vous allez vraiment repartir dans les couches, les nuits blanches, tout ça ? »
« Vous êtes sûrs ? Vous êtes courageux… »
Courageux ? Peut-être. Inconscients ? Sûrement un peu. Mais jamais, au grand jamais, je ne regretterai ce choix.
Parce que oui, on a replongé. Dans les pipis qui débordent de la couche en plein milieu d’un restaurant chic à Phuket.
Dans les cacas qui remontent jusqu’au dos et te font regretter d’avoir pris ce joli body blanc immaculé. Dans les vomis en voiture qui transforment un trajet idyllique en road-trip apocalyptique.
Dans les crises de colère monumentales qui résonnent à travers le village flottant alors que tu voulais juste acheter un souvenir.
On a replongé dans le chaos. Mais aussi dans un amour indescriptible.
En Thaïlande, tout a été décuplé. Timothée a découvert la mer, le sable, le soleil…
et la joie de se rouler dedans juste après que je lui aie mis de la crème solaire. Il a appris à dire « sawasdee »
(bonjour en thaïlandais),
mais il préfère de loin crier « MAMANNNNN » à tue-tête dès que je m’éloigne de plus d’un mètre.
Il a testé toutes les options possibles pour nous faire sortir de nos gonds : courir nu sur la plage alors que je lui courais après avec son maillot, renverser des jus de fruits colorés sur des nappes blanches, lancer sa chaussure depuis la poussette en plein milieu de la rue… et je vous passe les détails des crises de colère monumentales en plein temple bouddhiste.
Mais être maman après 40 ans, c’est aussi avoir appris à relativiser. Aujourd’hui, ce n’est plus le regard des autres qui me dérange. Les jugements silencieux, les sourcils froncés, les « on n’aurait jamais laissé notre enfant faire ça »… franchement, je m’en fous.
Ce qui me touche encore, ce sont les jours où je perds patience. Ceux où je m’énerve trop vite, où je crie alors que je m’étais jurée de rester calme. Ceux où, épuisée, j’ai l’impression de ne pas être à la hauteur. Ces jours-là, une petite voix murmure que j’ai peut-être raté un épisode « éducation ». Que je devrais être plus douce, plus compréhensive. Que j’aurais dû gérer autrement.
Mais quand cette petite voix devient trop insistante, mes grandes filles sont là.
Ah, mes ados… Elles ont été ma bénédiction pendant ce voyage.
Quand Timothée pique une colère monumentale en plein restaurant, c’est l’une d’elles qui prend le relais. Quand il refuse catégoriquement de monter dans sa poussette, elles lui racontent une histoire qui finit toujours par le faire céder. Quand je suis à bout, à deux doigts de craquer, elles posent une main douce sur mon épaule et me disent : « Maman, va prendre l’air, on gère. »
Et c’est ça, ma plus grande victoire. Avoir élevé des filles capables de comprendre, d’aider, d’aimer sans condition.
Voir cette sororité naître sous mes yeux, cette complicité entre un petit garçon de deux ans et ses grandes sœurs adolescentes, c’est un cadeau que rien ne peut égaler.
Bien sûr, tout n’est pas rose. La fatigue est bien là, les cernes aussi. Les moments de doute, de découragement.
Les fois où William et moi on se regarde en se demandant « mais qu’est-ce qui nous a pris ? ».
Mais au fond, tout est plus cool. On ne cherche plus la perfection. On ne cherche plus à être les parents modèles.
On fait les choses à notre sauce.
Parfois c’est le bazar, parfois c’est bancal… mais c’est nous.
On ne court plus après une image de famille idéale. On vit, tout simplement. On se prend moins la tête, on rit plus souvent. On accepte de ne pas tout contrôler. Et quand on fait des erreurs… on s’excuse, on s’explique, et on avance.
On profite de chaque instant, on savoure chaque sourire, chaque câlin, chaque éclat de rire. Parce qu’on sait à quel point le temps file vite. Parce qu’on a déjà vu deux bébés devenir ados, presque adultes, sous nos yeux.
Alors oui, être maman après 40 ans, c’est fatigant, c’est exigeant, c’est épuisant… mais c’est aussi la plus belle aventure de ma vie.
Et en Thaïlande, cette aventure a pris une saveur toute particulière.
Celle du chaos, du rire, des galères, des câlins, des crises, des vomis en voiture et des pipis qui débordent. Celle des souvenirs que je chérirai à jamais.
Parce qu’après tout, la maternité, ce n’est pas la quête de la perfection.
C’est l’acceptation du chaos. C’est l’apprentissage du bonheur, au jour le jour.
Si je t’écris, c’est pour te parler d’un sujet qui me tient vraiment à cœur. Je n’ai jamais pris le temps de l’aborder ici. Sûrement par gêne, à cause du syndrome de l’imposteur, je ne sais pas…
En tout cas, je sens qu’aujourd’hui c’est le moment! Il faut que je te parle de ce bébé à qui j’ai donné vie en novembre 2019, «Bonjour Madame».
Il est nécessaire que tu comprennes, alors voici…
T’écrire tous les jours, c’est comme un lien entre nous, un lien invisible. Sache que c’est pour moi comme du carburant. Je sais, c’est drôle cette impression de se connaître, alors que nous ne nous sommes jamais vues. Depuis maintenant plus de neuf ans, je parle à de nombreuses femmes, et c’est incroyable de voir à quel point encore elles se sentent submergées voir totalement perdues ou pas du tout à la hauteur des différentes casquettes qu’elles portent au quotidien.
Quand j’étais petite, mon père m’emmenait très souvent avec lui en voiture, il me donnait des conseils que je ne comprenais pas forcément à l’époque. Depuis que je suis devenue maman, ceux-ci prennent tout leur sens. Il me disait qu’en tant que femme, noire de surcroît, je rencontrerai des épreuves bien plus compliquées que les siennes. Que la société ne serait pas douce avec moi et que c’était la raison pour laquelle il devait m’armer. Il me répétait autant que possible que les problèmes, les difficultés: on les affronte. On ne les évite pas!
Il me disait qu’une vague, quand on la prend de face elle nous renverse à coup sûr. Et l’on se noit!
Par contre, quand on attend le bon moment pour plonger dedans, alors elle ne pourra rien contre nous!
« Au contraire Babeth , c’est toi qui pourra surfer dessus. Ne l’oublie jamais! »
La maternité a fait partie des plus grandes vagues de ma vie de femme. Elle a tout mis en vrac: dans ma maison, dans ma voiture, dans mon organisation, dans mon cœur, et puis, elle a tout chamboulé , aussi bien dans ma tête que dans mes émotions.
La maternité ça a été cette déferlante sur mes certitudes et mon envie de tout contrôler.
Sauf que voilà, résister, c’était se faire renverser, mais décider de plonger dans la vague, c’était saisir cette opportunité pour apprendre à progresser et grandir.
Il y a des gens qui disent que les enfants nous volent notre vie.
Je pense que c’est tout le contraire. J’ai découvert qu’être mère, c’est partir à la découverte de mes ressources insoupçonnées de femme.
Là où tout le monde voyait un problème, c’était à moi de voir l’opportunité en or pour déceler ce que je voulais vraiment faire de ma vie.
Quand Salomé eu 1 an, avec Ceryse, qui en avait déjà presque 6: j’ai sombré dans l’épuisement. Ma maternité est venue révéler au grand jour ce manque de confiance incroyable que j’avais en moi! En les autres, en la vie. Mon masque s’est fissuré. Je jouais un rôle qui ne me convenait plus!
Au début, j’ai résisté ne me pensant pas légitime de faire ce qui m’appelait au plus profond de mes tripes. Et puis un jour, j’ai décidé de plonger dans cette fameuse vague. J’ai décidé d’aller à la rencontre d’autres femmes, que je suivais sur les réseaux sociaux. Des femmes, pour la majorité qui étaient mamans, que je trouvais belles, intelligentes, intéressantes, inspirantes, mais qui vivaient très sûrement des réalités similaires aux miennes.
J’avais besoin de me remplir de leurs expériences, de leurs histoires de leur témoignages à elles.
Ces femmes que je ne connaissais pas et qui de qui pourtant je me sentais si proches.
Comment faisaient telles?
Quels étaient les défis qu’elles rencontraient au quotidien?
Comment s’organisaient-elles?
Et leur vie de couple?
Leur job ou pas?
Leur sexualité?
Leurs peurs?
Leurs rêves?
Je ressentais le besoin de tout savoir sur elles!
J’ai sauté le pas: NotJustMom est né.
Grâce à ces nombreux échanges aussi édifiants les uns que les autres, ces rencontres avec toutes ces femmes de couleur, d’appartenance religieuse, de catégories socio-professionnelles différentes, j’ai réalisé que nous menions toutes les mêmes combats. Nos réalités de femmes, de mères étaient vraiment similaires. Chacune de nous, nous battions chaque jour pour apporter du soleil à nos vies. Je faisais à chaque fois le même constat: ces femmes avaient tout simplement appris à se faire confiance. Elles avaient appris à s’aimer.
Je me rappelle du moment précis où j’ai réalisé que le problème ne venait pas de moi. Il venait tout simplement de mon quotidien, qui était construit sur des habitudes destructrices qui attaquaient sans arrêt mon bien-être, mes relations et mon niveau d’énergie.
Alors j’ai lu, j’ai expérimenté et petit à petit, j’ai transformé mon quotidien. Cette découverte, je la partage depuis neuf ans avec d’autres femmes sur ici, sur mon blog, NotJustMom ainsi que sur mon compte Instagram..
Et puis, il y a ce jour de septembre 2019, où dans une rue new-yorkaise, je confie mon rêve à mon amoureux. Je lui confie, que ce que je vis avec NotJustMom est tellement magique et réparateur pour la femme que je suis, que ce serait égoïste de ne pas en faire bénéficier d’autres femmes.
Des femmes qui pensent n’avoir ni les ressources ni le temps, tellement elles sont submergées par leur quotidien… Ces femmes, je savais qu’elles existaient.. Elles m’envoyaient de nombreux messages de détresse quasi quotidiennement.
Il m’a convaincu que je devais le faire. Je ressentais fortement le besoin de créer un univers bienveillant pour toutes les femmes, qui, comme moi, ne voulaient plus subir leur vie, mais la vivre à fond dans la bienveillance et avec le sourire. J’avais besoin de dépasser les écrans, nous devions nous voir, nous regarder droit dans les yeux. Nous devions nous serrer fort dans les bras les unes des autres. Nous devions communier ensemble.
Vous savez, je suis persuadée que nous méritons toutes de vivre des vies extraordinaires où nous ferons des progrès quotidien dans les domaines les plus importants.
Raison pour laquelle « Bonjour Madame » est né le 1 novembre 2019.
Qu’est-ce que Bonjour Madame ?
Crédit photos: @lauren_lk
Bonjour Madame, ce sont des expériences où les femmes sont au cœur de tout. Bonjour Madame, ce sont ces ateliers où nous décidons de reprendre le contrôle des neufs zones de priorité de notre vie ( santé, finance, environnement, carrière/ appel, plaisir, développement personnel, relation/famille/ social, spiritualité, couple ) afin de littéralement transformer notre existence.
Alors sache que « Bonjour Madame » est pour toi qui veux plonger dans la vague. Toi qui veux saisir ce moment de ta vie où tu ne te sens pas à la hauteur, comme une opportunité pour apprendre à aimer ta vie et peut-être même pour apprendre à t’aimer toi. Bonjour Madame, est pour toi si tu veux te surprendre toi-même avec de nouveaux réflexes de bienveillance et de gratitude.
Crédit photos : @lauren_lk
Et puis si tu veux te sentir entourée et soutenue, quelque soit ce que tu traverses, afin de ne plus tomber dans le piège de la culpabilité; si tu veux alimenter ton être intérieur pour plus de constance et moins d’émotions en dents de scie; si tu veux te concentrer sur ce qui compte vraiment pour te simplifier la vie, crois-moi tu es au bon endroit!
Crédit photos: @lauren_lk
« Bonjour Madame » ce sont des rendez-vous avec d’autres femmes qui, tout comme toi et moi, ne veulent plus subir la vague mais plutôt apprendre à surfer dessus. Les portes de Bonjour Madame ouvrent pour sa prochaine édition, le Samedi 14 Octobre 2023 pour aborder le thème de: « La sexualité au féminin et ses tabous ».
Alors si mes mots et ce thème résonnent en toi, sache que tu es et seras toujours la bienvenue.
L’année scolaire se termine calmement, et je sui heureuse de voir que ma Ceryse se porte bien mentalement! Pourquoi je vous dit cela?
Tout simplement parce qu’il y a quelques jours, Cece m’a dit que dans sa classe et pas que, des enfants peinaient encore à retirer leurs masques. Non pas pour se protéger du virus de la Covid, mais tout simplement par peur de montrer leurs visages aux autres. Parce que par exemple, ils avaient beaucoup d’acné, ou qu’ils avaient pris du poids! Bref, c’était un vrai moyen de combattre cette pression du regard que l’autre peut poser sur soi! Vous imaginez même pas mon choc et ma peine! Sauf que je peux les juger!
Après toutes les restrictions liées à la Covid, beaucoup de personnes éprouvent encore aujourd’hui des souffrances sur le plan mental. Les jeunes ont particulièrement été touchés par les effets de la crise, étant donné que leur temps libre, leurs loisirs et leur futur professionnel étaient en péril ou à tout au moins perturbé. Les médias et les différents organismes et institutions étatiques ou associatives ont entamé des analyses sur l’envergure des difficultés rencontrées par les jeunes. Moi-même, dans le cadre de mon job d’infirmière libé, je suis confrontée au quotidien à cette souffrance qui touche nos jeunes de façon dramatique aujourd’hui!
Mère et tante d’adolescents qui grandissent de jour en jour, je m’instruis et m’informe sur tout ce qui peut les concerner: leur évolution physique et psychologique, leur sexualité, leur santé physique et mentale etc… J’ai décidé de m’investir d’une manière bien plus engagée les concernant.. Et cet article, fait parti de ces nouveaux engagements que j’ai décidé de prendre.
Il faut que nos jeunes comprennent qu’il faut trouver le courage de parler de leur santé mentale. Qu’il ne faut pas avoir honte des problèmes rencontrés, mais qu’il faut en parler à des personnes de confiance et si besoin trouver de l’aide professionnelle.
Chacun peut contribuer à briser le tabou
Ce que les jeunes peuvent faire:
Parler à une personne de confiance ou chercher de l’aide professionnelle
Ecouter et sensibiliser d’autres jeunes et les encourager à chercher de l’aide professionnelle en cas de détresse.
Ce que les parents peuvent faire
● Encourager les jeunes à consulter le site Jeunes en souffrance ou le Centre intersectoriel d’accueil pour adolescent (Ciapa) qui est un lieu où les adolescents en crise peuvent venir chercher une aide, ponctuelle ou régulière.
● Prendre les jeunes au sérieux s’ils manifestent un mal-être. ● S’informer sur la santé mentale auprès de leurs jeunes. ● Chercher le dialogue et si le dialogue n’est pas possible, les soutenir dans les démarches de trouver de l’aide professionnelle. ● Ecouter les jeunes, passer du temps avec eux et s’intéresser à leur santé et bien-être